Je m’appelle Karyne, j’ai 45 ans, cadre commercial dans un laboratoire pharmaceutique, je suis mariée avec un homme plus agée de 15 ans .
Je suis grande, mince, rousse avec de grands cheveux frisés, mes seins de tailles moyennes sont en forme de poires avec des tétons qui pointes sous mes vétements.
Il y une quinzaine d’années, lors d’un congrès professionnel j’ai trompé mon mari avec un collègue, juste une aventure d’un soir, je n’avais jamais trompé mon mari auparavant, ce n’est pourtant pas les occasions qui me manquaient.
Une semaine plus tard, après mon retour de ce congrès, j’ai avoué à mon mari que je l’avais trompé.
Il n’a rien dit. Il ne m’adressa pas la parole pendant 2 semaines.
Une quinzaine de jours après, il m’appelle en fin de matinée, et m’avertit qu’il a prévu une sortie pour le soir même, que je me prépare, et que la m’habille en tailleur classe, avec des dessous bas noirs des dessous sexy.
Je me réjouis, que mon mari ne me fasse plus la tête, et qu’il prenne l’initiative d’une soirée en amoureux.
Vers 20 heures et nous prenons la voiture en direction de la banlieue nord. Un peu après le périphérique il quitte l’autoroute et nous entrons dans le 93.
Il arrête la voiture devant un café dans un quartier sombre. Il me dit de descendre. Il m’ordonne d’un ton sec d’entrer dans le café. J’obéis, sans comprendre.
Le café était tenu par un homme de type méditerranéen d’une cinquantaine d’années. Un homme très grand d’une carrure impressionnante. Le café est vide à peine allumé, comme si c’était fermé.
Mon mari me pousse si fort dans le dos en direction de l’homme que je tombe à genoux.
- voilà, elle est à toi pour jusqu’à demain matin.
Je reste ahurie, ne comprenant rien à ce qui se passe.
L’homme saisit le revers de ma veste, me remet sur mes jambes, me regarde dans le yeux sans rien dire, puis il me conduit sans ménagement dans un pièce derrière le bar.
Dans la pièce se trouve deux hommes plus jeunes genres mafieux, ils m’attrapent et m’attachent les mains dans le dos avec des menottes.
Moi il faut que je rentre dans non argent donc j’ai organisé une soirée avec quelques clients, il ne faut pas qu’ils soit déçus. Tu feras tout ce qu’ils voudront et ce que je veux. Si non cela ira très mal.
Pour commencer on va vérifier si tu suces bien. Les deux hommes qui n’ont rien dit, me forcent à me mettre à genoux, la jupe de tailleur ne résiste pas et la fermeture craque. Les deux hommes sortent leur sexe, l’un deux me le plaque sur la bouche. Après une seconde d’hésitation, j’ouvre la bouche et je suce le sexe mou.
Je suis en train de sucer un inconnu au lieu de dîner en amoureux avec mon mari
Je suce ce sexe qui durcit rapidement, devenant large et épais, l’homme me saisit les cheveux, pompe mieux que ça salope, une claque derrière la tête m’enfonce le sexe au fond de la gorge, instinctivement je veux retirer le sexe de ma bouche, une autre claque m’en défend.
Après plusieurs minutes l’homme se retire et éjacule sur le sol.
Le deuxième me saisit par les cheveux et m’enfourne sa queue dans la bouche.
Je suce cette autre queue, pendant que le premier fait ses commentaires au patron sur ma façon de sucer.
Rapidement l’autre éjacule sur le sol.
Aussitôt le patron m’empoigne pas les cheveux et m’écrase le visage sur le plancher crasseux et me fait lécher le sperme tombait à terre.
Je suis écœuré, mais je n’ai pas le temps de me plaindre.
Il m’empoigne et m’entraîne au fond de la pièce. Il m'attache les poignets avec des menottes, accroche les menottes à une corde qui pend du plafond, et tire sur le bout, m’obligeant à me mettre sur la pointe des pieds.
Voilà, les clients vont pouvoir admirer la marchandise.
Ils retournent dans le café me laissant seul dans la pièce; Devant moi en demi-lune devant moi il y a une douzaine de chaises et une table. La pièce est à peine éclairé
Je reste seule pendant un temps qui me semble infini.
Deux hommes, trois, sept, douzes hommes entrent dans la pièce. Certains s’approchent de moi, me regardent comme une proie, certains touchent mon corps, plusieurs palpent les seins ; les fesses, l’un d'eux passe la main entre mes jambes jusqu’à ma culotte, puis sent ces doigts.
Quand tout le monde est installé le patron revient et prend la parole.
Les hommes applaudissent….
Il s’approche de moi, les boutons de mon chemisier, il sort un couteau de sa poche, glisse la lame sous mon soutien gorge et coupe juste entre les deux bonnets, il passe derrière moi, dégage les bonnets offrant ma potrine au regard des spectateurs, des sifflements, des commentaires sur la taille et la forme des mes seins. Il dire ensuite sur ma jupe, découvrant mon slip en dentelle noir et mes bas à jarretières.
Je me sens comme un animal à la foire.
Je crois rêver, mon mari ma loué…, vends mon corps….
Les hommes surenchères rapidement, jusqu’à 800 Francs, je suis adjugé pour cette somme à un homme de 50 ans environs, le visage buriné, les épaules très larges.
-elle est à toi Marco pour 15 minutes, l’homme s’approche
Il demande au patron de lui prêter le couteau, il découpe mon slip, retire entièrement ma jupe, découpe les bretelles de mon soutien gorge.
Je suis pendue par les bras presqu'entièrement nue.
Il retire la ceinture de son pantalon, passe derrière moi, remonte ma veste sur mes épaules. Recule, quelques secondes passe, un souffle rapide, et la lanière de cuir me frappe violemment le dos, je hurle de douleur, un second coup, frappe mes fesses, puis autres, les coups pleuvent, mes cris déchirent la pièce. Après le dos, il se place devant moi, et se sont mes seins qui sont maintenant frappés, mon ventre, mes cuisses.
Mon corps me cuit, jamais je n’avais été frappée.
L’homme demande à deux hommes de venir me tenir les chevilles pour que j’écarte les jambes. Immédiatement, je me retrouve suspendue écartelée. Mon sexe épilé offert aux regards. L’homme me frappe entre les cuisses, la ceinture me déchire les lèvres, il frappe 5 coups très violents sur mon sexe.
Quand les coups cessent, la transpiration couvre mon corps.
Avant que j’ai le temps de reprendre mes esprits, l’homme s’approche de moi, saisit la pointe de mes seins et les tord violemment, m’arrachent encore un cri. Des larmes coulent de mes yeux,. Il me tient par les cheveux me force à les regarder dans les yeux et me dit
-maintenant je vais d’enculer, salope
Mon mari m’a déjà sodomisée, mais après de longs preléminaires, mais pas à froid.
L’homme se place derrière moi, introduit violemment un doigt dans mon petit trou, puis un deuxième, et tourne ses deux doigts avec un mouvement de va et viens. J’ai l’impression que mon anus va se déchirer. Rapidement il retire ses doigts et plaque entre mes femmes son gland dur, qu’il enfonce sans ménagement dans mes entrailles, je hurle de nouveau. Mon cul explose…
Les hommes applaudissent en tapent en cadence, en suivant les va et vient de mon tortionnaire.
Après plusieurs minutes de va et viens de plus en plus violent et rapide, je suis parcourus par une onde electrique, le plaisir, la douleur, la jouissance d'être
prise en publique comme une chienne, je ne sais pas, rapidement il éjacule en moi. (Nous étions en 1988, on commençait seulement à parler du Sida, car aujourd'hui je ne pense pas que
d'être prise par un inconnu sans préservatif me fassse jouîr)
A ma plus grande honte, je me rends compte que j’ai hurlé, mais pas de douleur, j’ai jouîs comme une folle, j’ai jouîs alors que je suis la proie d’un inconnu qui ma violer en public
Ma jouissance n’a échappée à personne, on me traite de salope, de chienne, et on me promets que je vais encore pouvoir jouïr, la nuit ne fait que de commencer.
Le deuxième, demande que l’on me mette nue et que l'on m’attache sur le dos sur la table.
Rapidement, je suis dénudés enièrement et allongée, les jambes attachées aux pattes de la table, cuisses écartées, les bras attachés derrière la tête.
Il tourne la table de façon que tout le monde voit ma chatte et puisse assister au spectable.
L’homme à une quarantaine d’années, grand et mince.
Il monte sur la table, s’assoit sur mon ventre les genoux de chaque cotés de mon buste, il pose son sexe sur ma bouche.
J’ouvre le bouche et suce le sexe. Pendant que je le suce il tire les pointes de mes seins, il les tord, les roulent entre ses doigts en pressant de plus en plus fort.
Quelqu’un dans l’assistance crie
Mon sexe est humide, savoir mon sexe est au vue de tout le monde m’exite, le traitement qu’inflige cet homme à mes seins me plait. Jamais mon mari, a traité ma
poitrine ni mon corps comme ça.
Jusqu'à ce jour, mon mari m'a traîté avec respect, il me faisait l'amour régulièrement mais classiquement, je dirais.
Lorsque le sexe de l’homme est dure, il saute de la table et le plante dans ma chatte. Il me bourre à grands coups, déplaçant la table à chaque coup de butoir. Rapidement la jouissance m’envahit, je hurle, provocant la jouissance de l’homme, qui éjacule sur mon ventre.
Le 3ème s’approche rapidement de moi, le sexe dressé, il se masturbe quelques instants au dessus de mon visage, et éjacule presque immédiatement inondant mon visage de sa semence.
Le patron s’approche de moi, ramasse mon chemisier et essuie mon visage étalant autant qu’il nettoie.
Dès lors je ne suis plus qu’une poupée de chiffon que l’on pénêtre par tous les trous, que l’on tourne et retourne, je suce, je lèche, j’avale, on m’insulte, on me maintient pendant que d’autres déchirent ma chatte et mon cul à grands coups de bite.
Après plusieurs heures, je ne suis plus qu’une loque, désarticulée, je baigne dans le sperme, mes cheveux sont poisseux, tous les hommes ont quitté la pièce, à par l’un des deux gardes qui a pris des photos de mon abattage.
Le patron entre, me regarde
Tu ferais une bonne gagneuse.
Allez, les gars elle est à vous jusqu’à demain, ne l’abîmé pas trop.
Il m’entraine à l’étage, dans une chambre.
Pendant le restant de la nuit, je suis le chose à tout faire de ses deux hommes, il me baise, m’encule, ils me frappent avec leurs ceintures, ils sont montait comme des ânes. Leurs sexes me labourent. Je dois les sucer, dès qu’ils ont jouis pour nettoyer les outils comme ils me disent, ils sont infatiguables.
Vers 5 heurs du matin, ils m’ont rendue à mon mari, nue, juste couverte d’une couverture du lit.
Ils lui ont remis la pellicule photo de la soirée.
Ma correction ne faisait que commencer………..
A suivre
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